Chez Richemont, les fonctions centrales et régionales unissent leur expertise pour orienter et accompagner les Maisons qui travaillent en étroite collaboration en tant que partenaires commerciaux. Le département juridique est indispensable à la réussite de notre entreprise, dans la mesure où il préserve notre réputation et nos actifs. En intégrant la fonction juridique, vous superviserez les contrats juridiques, conseillerez les départements et veillerez au respect des lois et des réglementations. L’atténuation des risques juridiques et la résolution des litiges relèveront également de votre responsabilité. Votre implication envers la conformité et l’atténuation des risques nous permettra de rester en règle vis-à-vis des autorités de réglementation et des parties prenantes.
Aucun jour ne se ressemble ! Les conseils que nous fournissons à Cartier portent sur une grande variété de sujets et sont donc constamment stimulants sur le plan intellectuel.
Pouvez-vous nous en dire plus sur votre rôle ?
Richemont dispose d’une fonction juridique centralisée appelée Legal Group qui est composée d’avocats spécialisés dans les domaines du droit commercial, de la propriété intellectuelle, de la protection de la vie privée, du numérique et de la concurrence. Je fais partie du département Propriété Intellectuelle (PI) et je fais partie de l’équipe qui assiste Cartier sur l’ensemble de ses questions de PI. Les tâches que nous effectuons vont de la validation et de la protection des noms de collection à la négociation d’accords avec des artistes pour le compte de Cartier, en passant par le conseil de la Maison sur ses campagnes de marketing du point de vue de la propriété intellectuelle.
Quelle partie de votre mission vous passionne le plus ?
Aucun jour ne se ressemble ! Les conseils que nous fournissons à Cartier portent sur une grande variété de sujets et sont donc constamment stimulants sur le plan intellectuel. En une matinée, je peux passer de la révision d’un accord avec un nouvel ami de la Maison à la revue des prochaines créations en cuir de Cartier, puis à la validation des noms pour une nouvelle collection de bijoux.
Quelle est la clé du succès dans votre rôle ?
Je dirais que c’est la capacité de combiner les compétences typiques d’un avocat ou d’un conseiller juridique avec une appréciation et une compréhension de la direction que Cartier veut prendre, et de la façon dont nous, ainsi que nos outils et notre expérience, pouvons accompagner au mieux la Maison pour y parvenir.
Y a-t-il une chose que votre équipe a accomplie dont vous êtes fière ?
Nous avons la chance de pouvoir travailler avec Cartier et nos collègues du droit commercial sur des événements passionnants que Cartier organise à travers le monde. C’est vraiment gratifiant de voir ces projets une fois qu’ils se concrétisent après tout le travail acharné de la Maison et avec notre contribution d’un point de vue juridique, surtout lorsqu’ils se déroulent à proximité et que nous pouvons les visiter.
Quelles sont les compétences clés que vous avez développées et maîtrisées au cours de votre parcours ?
Je trouve qu’une attitude positive aide à briser les barrières et à résoudre les problèmes. De plus, j’ai appris à devenir succincte dans mon style de communication. Je sais maintenant qu’être capable d’exprimer des conseils en quelques phrases, souvent avec un exemple pertinent, est beaucoup plus précieux qu’une longue revue et analyse.
Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait de vivre et de travailler à Genève ?
Travailler à Genève me permet d’interagir dans ma langue maternelle, l’anglais, car je suis australienne, et aussi en français avec des collègues du monde entier, ce que j’adore. La ville elle-même est vraiment belle et facile à vivre. Et bien sûr, nous sommes aux portes de certaines des plus belles montagnes pour le ski et la randonnée, mais aussi à proximité de nombreux lieux culturels de l’Europe.